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La souscription, ciment d’une relation forte entre Elysis et une famille

Rien ne les arrête, même pas les mesures Covid, parfois très exigeantes. Tous les jours, Raymond (84 ans) et Marc (60 ans) sont à Elysis Kirchberg pour passer des instants précieux avec leur épouse et mère, Christiane. Pas question de manquer le rendez-vous, ne fût-ce qu’une seule fois. Une maison de soins ne constitue en rien un univers isolé, un monde à part que l’on rejoint en franchissant la porte, et que l’on quitte sans se retourner… À Elysis, les familles jouent un rôle essentiel. La présence soutenue de Marc et Raymond tient peut-être du remarquable, mais n’a rien d’exceptionnel. Avec eux, un lien fort s’est tissé au fil des mois.

Un accident de santé, et tout s’enclenche

Le point de départ de la relation : la santé de Christiane… et le fait qu’elle ait été souscriptrice à Elysis. Quand, en 2017, le diagnostic de ses troubles cognitifs implique de lui trouver un hébergement adapté, c’est tout naturellement que la famille se tourne vers Elysis. Le père de la patiente avait été parmi les souscripteurs de la première heure, en 1998, et lui avait transmis cette garantie de soins à son décès, en 2002.

« Tout ne s’est pas joué brusquement, bien sûr, résume Raymond. Nous avions consulté un médecin généraliste, craignant une attaque cérébrale, car mon épouse avait des trous de mémoire, et elle s’exprimait avec difficultés. Des médicaments ont amélioré sa condition, et elle a été admise dans le service de neurologie d’un hôpital. Sa condition lui interdisait de rester à la maison. Nous avons donc naturellement fait appel à Elysis, et tout s’est enclenché de façon très naturelle, rapide et efficace. Le neurologue a pris l’initiative. Il connaissait bien la maison et savait à qui s’adresser. Elle est directement passée de l’hôpital à un logement dans la maison de soins du Kirchberg. Nous y avons installé quelques meubles pour qu’elle se sente chez nous. »

Première séparation depuis la lune de miel

Dirigeant d’entreprises, aux idées aussi claires que le verbe, Raymond laisse passer un voile nostalgique dans son regard : c’était la première fois, depuis leur mariage en 1960, que les époux étaient séparés. Un choc. «Les troubles cognitifs de mon épouse se sont en partie estompés, grâce au traitement qu’elle a suivi, et à l’action efficace du docteur Jean-Paul Schwartz, et de l’ensemble du personnel de soins. Hélas, une fracture de la jambe contrarie désormais sa mobilité. Avant cela, Christiane venait encore avec nous régulièrement au restaurant, et elle retrouvait la maison, où elle séjournait parfois jusqu’à deux semaines d’affilée. La crise sanitaire a tout contrarié. Mais heureusement, à Elysis, grâce à la carte gourmande, nous nous offrons un bon repas tous les trois tous les samedis. C’est génial ! Et nous n’avons évidemment pas manqué les repas spéciaux de fêtes. Un monde de différence avec la période du confinement… qui ne nous a pas empêchés de rendre visite tous les jours, de l’autre côté des barrières.»

Conseiller dans le domaine de la sécurité internationale, Marc a accepté sans hésiter de faire partie du comité de vie sociale d’Elysis, renforçant encore le lien de la famille avec la maison. « En fait, quand je suis à Elysis, j’observe, et j’écoute les résidents, ma mère comme les autres. J’ai un bon contact avec le personnel. J’arrive, avec mon regard extérieur combiné à cette écoute, à émettre des suggestions pour améliorer la vie de tous les jours. Des détails… importants. Par exemple, je me suis rendu compte que le téléphone était souvent difficile à atteindre, dans les chambres, pour les pensionnaires. Je dois dire que l’ambiance est très bonne, constructive. Le directeur a des qualités d’écoute affirmées, et un grand sens pratique. »

Un filet de secours

« La possibilité d’aller dans une maison de repos n’avait rien de tabou chez nous, se remémore Raymond. Nous l’avons évoquée à l’époque où Christiane a endossé sa souscription chez Elysis. Cette souscription, c’était notre filet de secours… et il a parfaitement fonctionné quand le moment est arrivé. Nous ne pouvons que louer la qualité de l’établissement et de son personnel, et le multilinguisme luxembourgeois-français-allemand qui favorise une intégration rapide. Les thérapeutes, infirmiers-ères et toute l’équipe de soins connaissent parfaitement leur métier. Ils sont attentifs, compréhensifs… et ils donnent toutes les explications nécessaires aux familles. Christiane a noué une telle relation avec eux qu’elle ne rate aucun anniversaire… et nous fait apporter des pralines à chacune de ces occasions. »